Maiko, devenir une geisha, avant dernier épisode.
L'examen approche, le stress monte, la petit provinciale sera-t-elle acceptée dans le quartier des plaisirs de Kyoto ?
Un blog collectif de deux amoureux de ce cinéma qui nous vient d'extrême Orient et qui nous dépayse tant. Notre blog se fixe un objectif unique le cinéma asiatique mais essaie de le traiter de la manière la plus large possible passant des films en noir et blanc aux plus recents, du Japon a la Thailande en passant par la Corée, d'Ozu le contemplatif à Takashi Miike le "fou filmant".
L'examen approche, le stress monte, la petit provinciale sera-t-elle acceptée dans le quartier des plaisirs de Kyoto ?
L'apprentie Geisha poursuit sa formation sous les yeux de ses ainées et de sa mère...
Voila suivant maintenant bon nombre de blogueurs, Asiaphilie participe à ce fameux test "si vous étiez" qui semble envahir toute la blogosphère allocinéenne. Donc en bons moutons que nous sommes on suit le mouvement et on participe à ce petit jeu assez...
Bon cycle japonais oblige, il fallait bien que j'évoque Kinji Fukasaku qui figurait parmi les réalisateurs de mes films japonais preferés. Un homme qui va réanimer le Yakuza-Eiga (le film de yakuza) en lui donnant un nouveau style plus dur, noir, amoral,...
A l'occasion du cycle japonais Ichimonji décide de remonter à l'origine de son pseudo s'attaquant à un film de Kurosawa et pas des moindres, avec le grand Ran que Carcharoth avait déjà évoqué mais ou il se focalisait surtout sur la comparaison entre le...
On entame la seconde moitié du documentaire sur les Geishas. Épisode 5.
On arrive à la moitié de ce passionnant documentaire sur le plus vieux métier du monde, raffiné au possible.
Takashi Miike est vraiment un réalisateur surprenant, au point que cette remarque en devient un simple pléonasme, tant le nom de Miike peut s'assimiler à l'adjectif déjanté. Mais encore une fois il m'a surpris avec ce Prisonniers du Paradis, un film inédit...
Voilà après ma parenthèse gore je reviens à un cinéma infiniment plus sérieux, plus beau, plus indispensable je parle bien sûr de celui de Yasujiro Ozu. Un cinéma simple mais bouleversant, pudique et pourtant universel, bref celui de l'un des plus grands...
Troisième partie du même reportage, on arrive presque à la moitié du sujet. D'ici la fin du cycle vous aurez tout.